Leslie Re27 - Souvenirs Comme Chaque Été, Une Petite Randonnée
Leslie RE27 Les récits érotiques
Souvenirs Comme chaque été, une petite randonnée
Cest la fin du printemps, ce samedi de début mai annone un week-end tranquille, seule dans la maison de Camargue, les filles étant parties hier soir faire une virée en Espagne et ne revenant que demain soir, alors pour profiter de cette belle matinée je me suis levée tôt et après avoir pris un petit déjeuner conséquent, je me suis habillée et jai préparé mon sac à dos de randonnée et je suis partie en voiture a bord de ma Triumph cabriolet, pour me rendre tranquillement au parc naturel régional des Alpilles, il était huit heures du matin.
Il est tôt, le soleil commence à se lever et javais le temps, alors je roule gentiment profitant des premiers rayons du soleil et de lair dans mes cheveux, jaime ça, profiter de linstant, tranquillement installée derrière le volant, dans le siège de mon cabriolet, et rouler les cheveux au vent.
Je roulais depuis une demi-heure, et venait de sortir dArles et après avoir passé labbaye de Montmajour, je contemplais le paysage et alors que je doublais une voiture, une autre est arrivée derrière moi et sest collée à moi en faisant des appels de phares.
Après avoir doublé je me suis rangée et jai repris ma conduite et la voiture derrière ma à son tour doublé
Quelques minutes plus tard, soudain, limage des deux filles qui venaient de me doubler me revint à lesprit, mais comme jétais bientôt arrivé, je décidais de continuer et oublier ces images, inutile de perdre mon temps avec des fantômes que je ne reverrais certainement jamais.
Sur la route D17, jai passé Fontvieille, puis arrivé à Maussane-les-Alpilles jai pris à gauche la D5 ou route de Maussane et arrivée au site appelé « Les Antiques », à neuf heures quinze je me suis arrêté sur le parking et jai profité un instant du magnifique panorama.
De là on rejoint par un chemin, le Monastère de Saint-Paul de Mausole doù part le circuit dune petite randonnée appelé « Le rocher des deux trous », circuit en grande partie sur de bons chemins, avec un accès au point culminant pour un merveilleux mais qui demande un peu plus d'effort et qui est devenu célèbre grâce au tableau peint par Van Gogh.
Je commençais à me diriger vers le monastère quand, à deux-cents mètres, je les ai vu, deux silhouettes que je ne me privais pas de mater, leurs seins emprisonnés dans des débardeurs et leurs jolies fesses dans des shorts moulants.
Je me suis dit à ce moment-là, quil fallait que je les suive à distance sans les perdre de vue, puis au moment opportun que je les aborde, javais quatre kilomètres et demi avant de me décider
Comme elles faisaient la même rando que moi, je nai pas eu de mal à les suivre, puis quand elles se sont arrêtées pour prendre des photos, je les ai dépassés et quand je suis arrivée à destination au rocher des deux trous, il était onze heures trente, je me suis assise sur un caillou et posais mon sac à dos à côté de moi.
Lendroit était désert et comme ma chemise était trempée de transpiration, alors je lai enlevée et je lai laissé sécher, près de moi au soleil sur une pierre.
Les deux filles sont arrivées un petit moment plus tard et sont venues directement sinstaller vers moi. Elles aussi étaient en sueur, fatiguées par la montée, elles mont regardées pour constater que jétais poitrine nue, et je constatais quelles aussi auraient bien enlever leur débardeur, mais peut-être quelles nosaient pas.
Elles ont entamé la conversation et après quelques banalités de circonstance sur la beauté du site, je leur demandais alors leurs prénoms. La blonde sappelait Catherine et sa copine, la brune, se nommait Vanessa, elles avaient toutes les deux vingt ans et étaient en vacances dans le coin pour quelques jours.
- Moi cest Leslie, leur dis-je.
Mal à laise dans son débardeur, cest Catherine qui me dit :
- Tu nas pas de complexe pour être ainsi !
Je lui répondis avec un petit sourire au coin des lèvres
- Vous navez pas à vous gêner car il ny a personne ici !
- Ce nest pas faux. Me répliqua Catherine.
Vanessa enchaîna alors :
Cest vrai quil ny a personne ici, et je ne vais pas me gêner pour faire comme toi.
A ces mots et à son sourire malicieux nous éclatâmes toutes les trois de rire.
Vanessa enleva alors son débardeur et nous fit découvrir une jolie poitrine, et jétais en train dadmirer les jolis seins, lorsque Catherine enchaîna :
- Puisque tu te mets à laise, je fais la même chose que toi.
Et elle ôta elle aussi son débardeur.
Me voilà donc en présence de deux splendides jeunes filles devant moi avec les seins à lair après avoir étendu leur débardeur sur la pierre à côté de ma chemise.
En regardant les poitrines, je ne me privais pas de les féliciter pour la beauté de leurs seins, elles furent flattées de mon compliment et Catherine enchaîna :
- Tes seins sont pas mal non plus !
Catherine et Vanessa, apparemment fatiguées, ont étendu une couverture et se sont installées dessus, puis elles se sont déchaussées, pour ne rester quen short, puis elles se sont allongées profiter du soleil.
Nous étions là, toutes les trois les seins nus à profiter du soleil pendant que nos hauts séchaient, et comme il était midi je proposais aux filles de partager nos repas respectifs, ce quelles ont accepté avec joie sans problème.
Alors nous avons déjeuner et quand nous avons terminé, je demandais aux filles si elles navaient pas envie de se reposer sous des ombrages au bord de leau et comme elles étaient partantes, nous sommes redescendues en changeant ditinéraire pour nous rendre au lac du Peiroou.
Arrivées au bord de leau elles se sont réinstallé toutes les deux sur la couverture pour profiter du paysage, un lac encaissé entre des parois rocheuses où le silence nétait troublé que par le chant des oiseaux, mais où la baignade est interdite. Moi je me trouvais au bord du lac, les pieds dans leau et nous avons recommencé à discuter, mais je voyais bien que leurs regards interrogatifs étaient souvent fixés sur mon short, et alors que nous parlions de choses et dautres, le sujet vînt sur le naturisme.
Vanessa me demandait si je pratiquais cet art de vivre et je luis répondis que jaimais bien, et que je vivais nue dès que je le pouvais mais tout en étant respectueuse de mon environnement, puis je ne pus résister à lenvie de les éclabousser, les faisant crier et se redresser dun bond, en pointant fièrement leur poitrine, et se précipitant sur moi, elles sont venues me pousser à leau et en éclatant de rire.
Vanessa dit alors :
- Tu las bien cherché !
Ne pouvant pas rester dans cette eau un peu froide, je sortis de leau complètement trempée, avec mon short qui me collait à la peau et en rigolant, je répondis aux filles :
- Voilà, vous êtes contentes, comment je vais faire maintenant pour me sécher ?
- Tu nas quà te mettre nue, lendroit est désert et tu peux faire du naturisme pendant que tes affaires sécheront
Je ne voulais pas être ridicule devant elles alors je rejoins les grosses pierres derrière nous et jenlevais mon short et mon string trempé, les essorais et les étendais pour quils sèchent eux aussi.
Quand je me suis retournée complètement nue pour quelle me découvre, elles arrêtèrent de rire en découvrent mon sexe à moitié dressé et poussèrent un petit « Hoo » de surprise, puis je leur dis :
- Maintenant cest à vous !
- Moi jai envie dessayer, dit Catherine.
Et elle enchaîna sur un mini strip-tease et montrer son sexe recouvert dun léger duvet blond laissant apparaître sa très jolie fente bien épilée et se rallongea sur la couverture en expirant lentement.
Jétais complètement sous le charme et je regardais alors Catherine qui elle semblait encore hésiter.
- A toi Vanessa, dit Catherine, si tu savais comme cest agréable et puis tu ne peux pas te dégonfler.
Alors ne voulant pas rester en reste et malgré son apparente pudeur, Vanessa retira short et petite culotte tout en restant assise sur ses fesses et en desserrant au minimum ses jambes. Dès quelle fut entièrement dénudée, elle se retourna aussitôt sur le ventre et se détendis alors un peu.
Jétais toujours debout au bord de la couverture et jétais subjugué par le spectacle, Catherine la blonde, nue sur le dos juste à côté de moi et Vanessa un peu plus loin, nue aussi laissant apparaître un superbe fessier. Mon émoi était si fort que ma queue était complètement redressée. Jétais un peu mal à laise mais jessayais dassurer une conversation qui sorientait de plus en plus sur le sexe
Jétais déjà dans une situation dérection bien avancée et je dois dire que Catherine ne ratait une seconde de se rincer lil.
Cétait la première fois que le voyais et je le trouvais magnifique. Une toison noire et bouclée qui était très bien entretenue. Catherine activait de plus en plus sa main droite sur mon sexe. De sa main gauche elle se caressait elle aussi la vulve et toutes les trois commencions à gémir.
Sentant que le plaisir montait en moi, je pris la main de Catherine pour lui signifier darrêter et je me suis baissée et lai embrassé sur la bouche, ma main droite sest approprié sa chatte et après avoir recueilli un peu de cyprine, je lui ai titillé son clito tout excité.
Je relevais la tête et je vis, juste en face de moi Vanessa, toujours caressant ses seins dune main et se doigtant la chatte de lautre, elle avait dailleurs déjà fait entrer trois doigts dedans et gémissait de plus en plus fort.
Jai embrassé Vanessa et soudain jai senti dans son baiser une petite réaction et en me détachant delle, jai aperçu que Catherine était en train de la doigter sattardant longuement sur son clito.
Mon sexe était raide et bien dur, et comme elle montrait une certaine impatience, je me tournais en premier vers Vanessa et positionner entre ses jambes je posais mon gland à lentrée de sa chatte, et dun coup de reins je menfonçais au plus profond delle. Son vagin était assez étroit et je le sentais envelopper mon membre, cétait très bon et elle semblait très apprécier. Sa jouissance arriva assez vite tellement elle était excitée, pendant que Catherine de son côté se donnait du plaisir en nous regardant.
Je me retirais de la chatte des Vanessa et après avoir contourné les deux corps entrelacés, je me suis placé derrière Catherine qui sétait mise en levrette et dun coup je lai pénétré sans aucun problème tellement elle était mouillée et à grands coups de boutoir je lai sauvagement culbuté, elle a joui en un rien de temps en hurlant son plaisir.
Je navais toujours pas joui, et Vanessa mallongea sur le dos en disant :
Viens Catherine on va bien soccuper delle.
Et elles se sont mises chacune de part et dautre de moi et entreprirent une fellation à deux langues, encore une fois elles montrèrent beaucoup de savoir-faire, car quand lune me suçait le gland lautre me dévoraient les couilles et vice versa.
Mes mains ne restèrent pas inactives et chacune delles commença à caresser les fesses de mes deux amantes. Mes doigts se dirigeaient le long de leur raie et mes majeurs titillaient leur rosette. Jallais de temps à autre rechercher humidifier mes doigts dans leur moule et ainsi lubrifier leur petit anneau. Jenfilais alors à chacune une première phalange puis le doigt au complet et je leur ramonais ainsi le cul.
De leur côté, elles narrêtaient pas une seule seconde et je ne savais plus qui des deux me suçais et laquelle avait aventuré ses doigts dans mon cul, toujours est-il quelle me faisaient vibrer.
Soudain, Vanessa dit :
Maintenant que tu nous as bien doigter le cul, jespère que tu vas nous sodomiser !
Encore heureux quelle va nous enculer, rétorqua Vanessa, elle nous a trop excitées, et en plus elle pourra jouir dans mes fesses !
Il en fut ainsi, jai en premier sodomisé Catherine, puis Vanessa ensuite, leur anus était bien étroit, surtout celui de Vanessa qui se faisait câliner par sa copine pendant quelle se faisait enculer. Jai pris beaucoup de plaisir et, comme elle le voulait, jai joui au fond des entrailles de Vanessa pendant que Catherine les lèvres collées aux siennes étouffaient les cris de jouissance de Vanessa.
Il nétait pas loin de dix-neuf heures lorsque nous arrivâmes au parking où étaient stationnées nos voitures. On échangea nos numéros de portable en se disant quil fallait se revoir et leur proposais de venir passer un week-end à la maison.
Pour se dire au revoir, elles me donnèrent chacune un doux et tendre baiser
A suivre
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